Joseph d'Anvers nous fait tomber à la renverse à Cébazat
"Je marche, petite, peu importe où je vais, j'avance, petite. Je tangue, petite, mais ne me retient surtout pas, petite". C'est sur ces jolis mots que Joseph d'Anvers fait son entrée. Il interprète "Petite" dans le cadre de l'ouverture du 16eme festival Sémaphore en chanson de Cébazat.
Depuis de nombreuses années, le festival donne des concerts en aparté. C'est chez Edalina de Freitas et son agence immobilière si bien nommée Muse&co Immo que le talentueux Joseph d'Anvers se produit.
Il commence son show, n'a pas encore fini sa première chanson qu'une corde de guitare casse. La guigne. Celui qui vient présenter des chansons de son quatrième album "Les matins blancs" avoue à son public qu'il a failli s'étouffer avec un cake aux olives. Avec la corde qui cède, il se définit lui même comme un "survivant" conscient que "quelque chose se passe pour ce concert".
Après un court intermède consacré à la réparation express de l'instrument en coulisses, le beau Joseph revient vers son public d'un soir. Il enchaîne les titres de son dernier album, rappelant à chaque fois avec humour et simplicité les prestigieuses collaborations qui y figurent. Lescop, Dominique A, Miossec, rien que ça!
Avec sa guitare et parfois à l'harmonica, il a de faux airs d'un Bob Dylan made in France.
Mais le songwriter n'en oublie pas le jolies mélodies au passage. Sur "Mon ange", "Avant les adieux", "Surexposé" ou encore sur le magnifique "Tremble", un frisson parcourt la salle. On n'en oublierait presque les chaises de bureau et l'éclairage de la salle de l'agence immobilière. Le public, fait de proches, d'amis ou de connaissances de la douce Edalina tape des mains et ose même reprendre un refrain lancé par Joseph d'Anvers. Celui qui a offert le sublime "Tant de nuits" à Alain Bashung a conquis le coeur de l'audience. "Cette belle jeunesse ne durera pas, cette belle jeunesse te file entre les doigts, cette belle jeunesse embrasse-la." Ce soir-là, nous avons embrassé notre belle jeunesse chez Muse&co. Joseph d'Anvers sera sur la scène du Sémaphore le 13 novembre.
En bonus, voici un extrait du concert. Joseph a eu la gentillesse d'accepter mon enregistrement.
Il y explique au début le sens de la chanson "Las vegas".
Depuis de nombreuses années, le festival donne des concerts en aparté. C'est chez Edalina de Freitas et son agence immobilière si bien nommée Muse&co Immo que le talentueux Joseph d'Anvers se produit.
Il commence son show, n'a pas encore fini sa première chanson qu'une corde de guitare casse. La guigne. Celui qui vient présenter des chansons de son quatrième album "Les matins blancs" avoue à son public qu'il a failli s'étouffer avec un cake aux olives. Avec la corde qui cède, il se définit lui même comme un "survivant" conscient que "quelque chose se passe pour ce concert".
Après un court intermède consacré à la réparation express de l'instrument en coulisses, le beau Joseph revient vers son public d'un soir. Il enchaîne les titres de son dernier album, rappelant à chaque fois avec humour et simplicité les prestigieuses collaborations qui y figurent. Lescop, Dominique A, Miossec, rien que ça!
Avec sa guitare et parfois à l'harmonica, il a de faux airs d'un Bob Dylan made in France.
Mais le songwriter n'en oublie pas le jolies mélodies au passage. Sur "Mon ange", "Avant les adieux", "Surexposé" ou encore sur le magnifique "Tremble", un frisson parcourt la salle. On n'en oublierait presque les chaises de bureau et l'éclairage de la salle de l'agence immobilière. Le public, fait de proches, d'amis ou de connaissances de la douce Edalina tape des mains et ose même reprendre un refrain lancé par Joseph d'Anvers. Celui qui a offert le sublime "Tant de nuits" à Alain Bashung a conquis le coeur de l'audience. "Cette belle jeunesse ne durera pas, cette belle jeunesse te file entre les doigts, cette belle jeunesse embrasse-la." Ce soir-là, nous avons embrassé notre belle jeunesse chez Muse&co. Joseph d'Anvers sera sur la scène du Sémaphore le 13 novembre.
En bonus, voici un extrait du concert. Joseph a eu la gentillesse d'accepter mon enregistrement.
Il y explique au début le sens de la chanson "Las vegas".
Crédit photo Catherine Lopes
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